PARMI LES CRIS, UN CHANT S'ÉLÈVE
Le témoignage d’une femme médecin déportée à Auschwitz
"Les malades sont déjà nues, ce qui évite la peine de les déshabiller. On les entasse dans la chambre à gaz, nous entendons encore quelques cris, quelques appels au secours, quelques noms, qu’on hurle à l’approche de la mort, et puis, un silence, un silence profond, un silence de mort plane sur tout..."